Posté par : PixelPétanque37 - le 17 Novembre 2025
Non, ça ne suffit clairement pas. Une stratĂ©gie est indispensable, et elle doit ĂȘtre adaptĂ©e Ă chaque entreprise.
Je suis d'accord, une simple présence ne suffit pas. C'est comme espérer qu'un programme se débugge tout seul, sans tests ni rien (spoiler : ça n'arrive jamais !). Une stratégie définie, avec des objectifs clairs et des métriques pour mesurer les résultats, c'est la base. Sans ça, c'est un peu comme naviguer à vue, on risque de se perdre... ou pire, de foncer droit dans le mur. Et l'adaptation, tu as raison. Ce qui marche pour l'un ne marchera pas forcément pour l'autre. Chaque entreprise est différente.
C'est intĂ©ressant ce que vous dites. Clairement, juste exister en ligne, c'est comme espĂ©rer gagner au loto sans acheter de billet. Y'a des outils pour Ă©viter de se planter, mais il faut s'en servir. L'autre jour, je discutais avec un ami qui a montĂ© sa boĂźte de crĂ©ation de bijoux. Au dĂ©but, il Ă©tait super content d'avoir un compte Insta et une page Facebook. Il postait des photos de ses crĂ©ations, mais rien ne se passait. Il comprenait pas pourquoi. AprĂšs quelques mois, il a compris qu'il fallait *bosser* le truc. Il a commencĂ© Ă faire des stories, des lives, Ă interagir avec ses abonnĂ©s. Il a mĂȘme fait des partenariats avec des influenceurs locaux. Et lĂ , ça a commencĂ© Ă dĂ©coller. Pas du jour au lendemain, hein, mais progressivement. Ce qui m'amĂšne Ă me demander, est ce que le problĂšme ne viens pas aussi de la mĂ©connaissance des outils Ă disposition. Par exemple, beaucoup de gens ne savent pas comment utiliser correctement Google Analytics ou les outils de ciblage publicitaire. C'est un peu comme avoir une super voiture de course et ne pas savoir conduire. Tu vas pas aller bien loin. Il faut aussi prendre en compte que l'algorithme des plateformes change tout le temps. Ce qui marchait hier ne marche plus forcĂ©ment aujourd'hui. Faut ĂȘtre constamment en train de s'adapter. C'est un peu fatigant, mais c'est le jeu. Tiens, en parlant d'adaptation, y'a le site d'un ami qui fait du conseil en marketing digital. Il explique bien comment rester Ă jour sur les derniĂšres tendances. Et vous, vous avez des exemples de stratĂ©gies qui ont bien marchĂ© pour vous ou pour des entreprises que vous connaissez ? Je suis curieux d'entendre vos histoires !
L'exemple de ton ami bijoutier est parlant, Aitu. Ăa illustre bien qu'on ne peut plus se contenter d'une simple "vitrine" en ligne. C'est un boulot Ă part entiĂšre. Et tu touches un point sensible : la mĂ©connaissance des outils. On a une avalanche de donnĂ©es Ă disposition, mais si on ne sait pas les interprĂ©ter, ça ne sert Ă rien. Je vois trop de boĂźtes se contenter de regarder le nombre de likes ou de followers, sans creuser plus loin. C'est un peu comme analyser une piĂšce de théùtre en ne comptant que le nombre d'applaudissements Ă la fin. Ăa donne une vague idĂ©e, mais ça ne dit rien sur la qualitĂ© de la mise en scĂšne ou du jeu des acteurs. Dans mon domaine (scĂ©nographie Ă©vĂ©nementielle), on est de plus en plus amenĂ©s Ă intĂ©grer des Ă©lĂ©ments digitaux. Par exemple, on utilise des outils d'analyse de donnĂ©es pour comprendre comment le public interagit avec nos installations. On peut ainsi ajuster en temps rĂ©el l'Ă©clairage, le son, ou mĂȘme la disposition des Ă©lĂ©ments pour optimiser l'expĂ©rience. Ăa demande une veille constante sur les nouvelles technologies et une capacitĂ© Ă traduire ces donnĂ©es en actions concrĂštes. Un rapport rĂ©cent que j'ai consultĂ© indique que les entreprises qui investissent dans la formation de leurs Ă©quipes aux outils d'analyse de donnĂ©es constatent une augmentation moyenne de 20% de leur retour sur investissement marketing. Ce n'est pas nĂ©gligeable. Mais il faut aussi que cette formation soit adaptĂ©e aux besoins spĂ©cifiques de l'entreprise, sinon c'est de l'argent jetĂ© par les fenĂȘtres. Et il ne suffit pas que les employĂ©s soient formĂ©s, il faut que cette culture de la donnĂ©e soit encouragĂ©e par le management. 65% des employĂ©s disent qu'ils seraient plus enclins Ă utiliser les outils d'analyse de donnĂ©es si leurs supĂ©rieurs leur montraient l'exemple. Finalement, je pense que la clĂ©, c'est l'humilitĂ©. Il faut accepter de ne pas tout savoir et ĂȘtre prĂȘt Ă apprendre en permanence. Le web Ă©volue tellement vite qu'on est tous un peu dĂ©butants, en permanence.
Tout à fait d'accord. L'humilité, c'est la base, surtout dans ce domaine. Et la formation continue, un investissement indispensable. Les chiffres que tu cites sont parlants.
Bon, je voulais juste vous donner un petit retour aprĂšs vos conseils. J'ai un peu creusĂ© Google Analytics, et effectivement, y'a des infos super intĂ©ressantes qu'on exploitait pas du tout avant. đ On a commencĂ© Ă mieux cibler nos publications sur les rĂ©seaux, et on voit dĂ©jĂ une petite diffĂ©rence en termes d'engagement. C'est pas encore le feu d'artifice, mais c'est encourageant ! Merci pour les tuyaux ! đđ
C'est super que tu aies dĂ©jĂ constatĂ© une amĂ©lioration, PixelPĂ©tanque37 ! đ Ăa prouve qu'avec un peu d'effort et les bons outils, on peut vraiment faire la diffĂ©rence. Mais attention, comme tu dis, ce n'est que le dĂ©but ! Faut surtout pas s'arrĂȘter lĂ et continuer d'approfondir l'analyse. C'est lĂ que ça devient vraiment intĂ©ressant. Y a tellement de donnĂ©es Ă exploiter ! Par exemple, vous pouvez regarder d'oĂč viennent vos visiteurs, quelles pages ils consultent le plus, combien de temps ils passent sur votre site, etc. Tout ça peut vous donner des indications prĂ©cieuses sur ce qui intĂ©resse vraiment vos clients et comment amĂ©liorer votre offre. Et puis, faut pas nĂ©gliger l'importance du contenu. Un site bien rĂ©fĂ©rencĂ©, c'est bien, mais s'il n'y a rien d'intĂ©ressant Ă lire, les visiteurs vont vite repartir. Selon une Ă©tude rĂ©cente, 70% des consommateurs prĂ©fĂšrent apprendre Ă connaĂźtre une entreprise Ă travers des articles plutĂŽt que par des publicitĂ©s traditionnelles. Donc, investir dans du contenu de qualitĂ©, c'est un excellent moyen de fidĂ©liser vos clients et d'attirer de nouveaux prospects. Et pour rebondir sur ce que disait Rousseau7, la formation, c'est clairement la clĂ©. C'est bien de se lancer seul, mais Ă un moment donnĂ©, il faut savoir se faire accompagner. J'ai vu des entreprises dĂ©penser des sommes folles en marketing digital sans jamais se former correctement. RĂ©sultat : des campagnes inefficaces et un retour sur investissement mĂ©diocre. C'est dommage, parce qu'avec quelques heures de formation, ils auraient pu Ă©viter ces erreurs et obtenir de bien meilleurs rĂ©sultats. Une stat amusante, 60% des entreprises qui forment leurs employĂ©s au marketing digital voient leur chiffre d'affaire augmenter de plus de 15% en 1 an. Continue comme ça, PixelPĂ©tanque37 ! Et n'hĂ©site pas Ă revenir nous donner des nouvelles de tes progrĂšs. đ
PixelPétanque37, c'est top que tu vois déjà des résultats. Tu dis que vous avez mieux ciblé vos publications, tu pourrais donner un exemple concret de ce que vous avez changé exactement ? Histoire de voir si on peut s'en inspirer aussi.
En fait, on s'est rendu compte qu'on publiait un peu n'importe quoi, n'importe quand. Maintenant, on regarde les stats Google Analytics pour voir quels jours et Ă quelles heures nos publications ont le plus d'impact. On a aussi fait des tests en changeant le type de contenu (plus de vidĂ©os, moins de texte, etc.) pour voir ce qui marche le mieux avec notre audience. C'est tout bĂȘte, mais ça a l'air de fonctionner !
C'est bien que tu expĂ©rimentes avec diffĂ©rents formats, PixelPĂ©tanque37 ! đ Je pense que c'est super important de tester et de voir ce qui rĂ©sonne le plus avec ton audience. Et ouais, parfois c'est les trucs les plus simples qui marchent le mieux... đ€·ââïž
C'est cool que PixelPétanque37 partage ses premiers pas, ça donne une vision concrÚte pour ceux qui débutent. Tester différents formats, c'est la base, et c'est bien de voir que ça porte ses fruits ! AprÚs, faut pas se contenter de Google Analytics, y'a plein d'autres outils pour creuser (sans mauvais jeu de mots !).
Clairement, Google Analytics c'est un bon point de départ, mais je pense que c'est important de pas se noyer dans les données. Faut savoir ce qu'on cherche à mesurer, sinon on perd un temps fou. On peut vite se retrouver à analyser des trucs qui n'ont pas d'importance pour notre activité. Faut un peu de méthode.
Tout Ă fait Rousseau7. Pour Ă©viter de se perdre dans les donnĂ©es, une astuce simple est de dĂ©finir des KPIs (indicateurs clĂ©s de performance) avant de plonger dans Analytics. Par exemple, si l'objectif est d'augmenter les ventes en ligne, on va se concentrer sur le taux de conversion, la valeur moyenne des commandes, le taux d'abandon de panier, etc. Si l'objectif est d'accroĂźtre la notoriĂ©tĂ© de la marque, on va plutĂŽt regarder le nombre de visites, le temps passĂ© sur le site, le nombre de partages sur les rĂ©seaux sociaux, etc. En se concentrant sur quelques indicateurs pertinents, on Ă©vite de se disperser et on gagne un temps prĂ©cieux. Et surtout, on peut plus facilement identifier les actions qui ont un impact rĂ©el sur l'activitĂ© de l'entreprise. C'est bĂȘte, mais si les objectifs sont pas clairs, on risque de se planter, et de s'y perdre.
Commentaires (13)
Non, ça ne suffit clairement pas. Une stratĂ©gie est indispensable, et elle doit ĂȘtre adaptĂ©e Ă chaque entreprise.
Je suis d'accord, une simple présence ne suffit pas. C'est comme espérer qu'un programme se débugge tout seul, sans tests ni rien (spoiler : ça n'arrive jamais !). Une stratégie définie, avec des objectifs clairs et des métriques pour mesurer les résultats, c'est la base. Sans ça, c'est un peu comme naviguer à vue, on risque de se perdre... ou pire, de foncer droit dans le mur. Et l'adaptation, tu as raison. Ce qui marche pour l'un ne marchera pas forcément pour l'autre. Chaque entreprise est différente.
C'est intĂ©ressant ce que vous dites. Clairement, juste exister en ligne, c'est comme espĂ©rer gagner au loto sans acheter de billet. Y'a des outils pour Ă©viter de se planter, mais il faut s'en servir. L'autre jour, je discutais avec un ami qui a montĂ© sa boĂźte de crĂ©ation de bijoux. Au dĂ©but, il Ă©tait super content d'avoir un compte Insta et une page Facebook. Il postait des photos de ses crĂ©ations, mais rien ne se passait. Il comprenait pas pourquoi. AprĂšs quelques mois, il a compris qu'il fallait *bosser* le truc. Il a commencĂ© Ă faire des stories, des lives, Ă interagir avec ses abonnĂ©s. Il a mĂȘme fait des partenariats avec des influenceurs locaux. Et lĂ , ça a commencĂ© Ă dĂ©coller. Pas du jour au lendemain, hein, mais progressivement. Ce qui m'amĂšne Ă me demander, est ce que le problĂšme ne viens pas aussi de la mĂ©connaissance des outils Ă disposition. Par exemple, beaucoup de gens ne savent pas comment utiliser correctement Google Analytics ou les outils de ciblage publicitaire. C'est un peu comme avoir une super voiture de course et ne pas savoir conduire. Tu vas pas aller bien loin. Il faut aussi prendre en compte que l'algorithme des plateformes change tout le temps. Ce qui marchait hier ne marche plus forcĂ©ment aujourd'hui. Faut ĂȘtre constamment en train de s'adapter. C'est un peu fatigant, mais c'est le jeu. Tiens, en parlant d'adaptation, y'a le site d'un ami qui fait du conseil en marketing digital. Il explique bien comment rester Ă jour sur les derniĂšres tendances. Et vous, vous avez des exemples de stratĂ©gies qui ont bien marchĂ© pour vous ou pour des entreprises que vous connaissez ? Je suis curieux d'entendre vos histoires !
L'exemple de ton ami bijoutier est parlant, Aitu. Ăa illustre bien qu'on ne peut plus se contenter d'une simple "vitrine" en ligne. C'est un boulot Ă part entiĂšre. Et tu touches un point sensible : la mĂ©connaissance des outils. On a une avalanche de donnĂ©es Ă disposition, mais si on ne sait pas les interprĂ©ter, ça ne sert Ă rien. Je vois trop de boĂźtes se contenter de regarder le nombre de likes ou de followers, sans creuser plus loin. C'est un peu comme analyser une piĂšce de théùtre en ne comptant que le nombre d'applaudissements Ă la fin. Ăa donne une vague idĂ©e, mais ça ne dit rien sur la qualitĂ© de la mise en scĂšne ou du jeu des acteurs. Dans mon domaine (scĂ©nographie Ă©vĂ©nementielle), on est de plus en plus amenĂ©s Ă intĂ©grer des Ă©lĂ©ments digitaux. Par exemple, on utilise des outils d'analyse de donnĂ©es pour comprendre comment le public interagit avec nos installations. On peut ainsi ajuster en temps rĂ©el l'Ă©clairage, le son, ou mĂȘme la disposition des Ă©lĂ©ments pour optimiser l'expĂ©rience. Ăa demande une veille constante sur les nouvelles technologies et une capacitĂ© Ă traduire ces donnĂ©es en actions concrĂštes. Un rapport rĂ©cent que j'ai consultĂ© indique que les entreprises qui investissent dans la formation de leurs Ă©quipes aux outils d'analyse de donnĂ©es constatent une augmentation moyenne de 20% de leur retour sur investissement marketing. Ce n'est pas nĂ©gligeable. Mais il faut aussi que cette formation soit adaptĂ©e aux besoins spĂ©cifiques de l'entreprise, sinon c'est de l'argent jetĂ© par les fenĂȘtres. Et il ne suffit pas que les employĂ©s soient formĂ©s, il faut que cette culture de la donnĂ©e soit encouragĂ©e par le management. 65% des employĂ©s disent qu'ils seraient plus enclins Ă utiliser les outils d'analyse de donnĂ©es si leurs supĂ©rieurs leur montraient l'exemple. Finalement, je pense que la clĂ©, c'est l'humilitĂ©. Il faut accepter de ne pas tout savoir et ĂȘtre prĂȘt Ă apprendre en permanence. Le web Ă©volue tellement vite qu'on est tous un peu dĂ©butants, en permanence.
Tout à fait d'accord. L'humilité, c'est la base, surtout dans ce domaine. Et la formation continue, un investissement indispensable. Les chiffres que tu cites sont parlants.
Bon, je voulais juste vous donner un petit retour aprĂšs vos conseils. J'ai un peu creusĂ© Google Analytics, et effectivement, y'a des infos super intĂ©ressantes qu'on exploitait pas du tout avant. đ On a commencĂ© Ă mieux cibler nos publications sur les rĂ©seaux, et on voit dĂ©jĂ une petite diffĂ©rence en termes d'engagement. C'est pas encore le feu d'artifice, mais c'est encourageant ! Merci pour les tuyaux ! đđ
C'est super que tu aies dĂ©jĂ constatĂ© une amĂ©lioration, PixelPĂ©tanque37 ! đ Ăa prouve qu'avec un peu d'effort et les bons outils, on peut vraiment faire la diffĂ©rence. Mais attention, comme tu dis, ce n'est que le dĂ©but ! Faut surtout pas s'arrĂȘter lĂ et continuer d'approfondir l'analyse. C'est lĂ que ça devient vraiment intĂ©ressant. Y a tellement de donnĂ©es Ă exploiter ! Par exemple, vous pouvez regarder d'oĂč viennent vos visiteurs, quelles pages ils consultent le plus, combien de temps ils passent sur votre site, etc. Tout ça peut vous donner des indications prĂ©cieuses sur ce qui intĂ©resse vraiment vos clients et comment amĂ©liorer votre offre. Et puis, faut pas nĂ©gliger l'importance du contenu. Un site bien rĂ©fĂ©rencĂ©, c'est bien, mais s'il n'y a rien d'intĂ©ressant Ă lire, les visiteurs vont vite repartir. Selon une Ă©tude rĂ©cente, 70% des consommateurs prĂ©fĂšrent apprendre Ă connaĂźtre une entreprise Ă travers des articles plutĂŽt que par des publicitĂ©s traditionnelles. Donc, investir dans du contenu de qualitĂ©, c'est un excellent moyen de fidĂ©liser vos clients et d'attirer de nouveaux prospects. Et pour rebondir sur ce que disait Rousseau7, la formation, c'est clairement la clĂ©. C'est bien de se lancer seul, mais Ă un moment donnĂ©, il faut savoir se faire accompagner. J'ai vu des entreprises dĂ©penser des sommes folles en marketing digital sans jamais se former correctement. RĂ©sultat : des campagnes inefficaces et un retour sur investissement mĂ©diocre. C'est dommage, parce qu'avec quelques heures de formation, ils auraient pu Ă©viter ces erreurs et obtenir de bien meilleurs rĂ©sultats. Une stat amusante, 60% des entreprises qui forment leurs employĂ©s au marketing digital voient leur chiffre d'affaire augmenter de plus de 15% en 1 an. Continue comme ça, PixelPĂ©tanque37 ! Et n'hĂ©site pas Ă revenir nous donner des nouvelles de tes progrĂšs. đ
PixelPétanque37, c'est top que tu vois déjà des résultats. Tu dis que vous avez mieux ciblé vos publications, tu pourrais donner un exemple concret de ce que vous avez changé exactement ? Histoire de voir si on peut s'en inspirer aussi.
En fait, on s'est rendu compte qu'on publiait un peu n'importe quoi, n'importe quand. Maintenant, on regarde les stats Google Analytics pour voir quels jours et Ă quelles heures nos publications ont le plus d'impact. On a aussi fait des tests en changeant le type de contenu (plus de vidĂ©os, moins de texte, etc.) pour voir ce qui marche le mieux avec notre audience. C'est tout bĂȘte, mais ça a l'air de fonctionner !
C'est bien que tu expĂ©rimentes avec diffĂ©rents formats, PixelPĂ©tanque37 ! đ Je pense que c'est super important de tester et de voir ce qui rĂ©sonne le plus avec ton audience. Et ouais, parfois c'est les trucs les plus simples qui marchent le mieux... đ€·ââïž
C'est cool que PixelPétanque37 partage ses premiers pas, ça donne une vision concrÚte pour ceux qui débutent. Tester différents formats, c'est la base, et c'est bien de voir que ça porte ses fruits ! AprÚs, faut pas se contenter de Google Analytics, y'a plein d'autres outils pour creuser (sans mauvais jeu de mots !).
Clairement, Google Analytics c'est un bon point de départ, mais je pense que c'est important de pas se noyer dans les données. Faut savoir ce qu'on cherche à mesurer, sinon on perd un temps fou. On peut vite se retrouver à analyser des trucs qui n'ont pas d'importance pour notre activité. Faut un peu de méthode.
Tout Ă fait Rousseau7. Pour Ă©viter de se perdre dans les donnĂ©es, une astuce simple est de dĂ©finir des KPIs (indicateurs clĂ©s de performance) avant de plonger dans Analytics. Par exemple, si l'objectif est d'augmenter les ventes en ligne, on va se concentrer sur le taux de conversion, la valeur moyenne des commandes, le taux d'abandon de panier, etc. Si l'objectif est d'accroĂźtre la notoriĂ©tĂ© de la marque, on va plutĂŽt regarder le nombre de visites, le temps passĂ© sur le site, le nombre de partages sur les rĂ©seaux sociaux, etc. En se concentrant sur quelques indicateurs pertinents, on Ă©vite de se disperser et on gagne un temps prĂ©cieux. Et surtout, on peut plus facilement identifier les actions qui ont un impact rĂ©el sur l'activitĂ© de l'entreprise. C'est bĂȘte, mais si les objectifs sont pas clairs, on risque de se planter, et de s'y perdre.