Intéressant tout ça, Docteur Quinn53.
Par contre, GalacticMechanic3, quand tu dis "rester clean", tu penses à des risques légaux (RGPD, etc.) ou plus à une question de valeurs et d'image de marque ? Parce que la réponse change un peu la donne, non ?
Docteur Quinn53, entièrement d'accord avec l'idée d'intégrer l'éthique de l'IA dans les écoles de commerce. C'est un peu comme apprendre à conduire sans connaître le code de la route, ça risque de faire des dégâts.
Mais je pense qu'il faut aller plus loin que ça. Il ne suffit pas de sensibiliser les futurs managers, il faut aussi former les équipes techniques, les développeurs, les data scientists... Tout le monde doit être conscient des enjeux éthiques de l'IA. Parce que, soyons réalistes, c'est souvent au niveau de la conception et du développement des algos que les biais se créent.
Et là, on touche à un autre problème : le manque de diversité dans les équipes techniques. Si tous les développeurs sont des hommes blancs de 30 ans, il y a de fortes chances que les algos qu'ils créent reproduisent les biais de cette population. D'où l'importance de favoriser la diversité et l'inclusion dans les métiers de l'IA. Selon une étude de Statista, seulement 26% des employés dans le domaine de l'IA sont des femmes. C'est un chiffre affligeant, et ça montre qu'il y a encore beaucoup de travail à faire.
Ensuite, il faut aussi mettre en place des process de contrôle et d'audit des algos. Il faut pouvoir détecter les biais et les corriger avant qu'ils ne causent des dommages. Et ça, ça demande des compétences spécifiques et des outils adaptés. La CNIL propose des guides et des recommandations pour aider les entreprises à se conformer au RGPD et à mettre en place une IA plus éthique, mais c'est encore insuffisant. Il faudrait des certifications et des labels pour garantir la qualité éthique des algos. Un peu comme le label "bio" pour les produits alimentaires. D'ailleurs, d'après un rapport de l'OCDE, seulement 10% des entreprises ont mis en place des mécanismes de contrôle pour s'assurer que leurs algos sont équitables et non discriminatoires. C'est dire l'ampleur du chantier.
Et enfin, il faut aussi que les entreprises soient transparentes sur la façon dont elles utilisent l'IA. Les clients doivent savoir comment leurs données sont utilisées et comment les algos prennent des décisions. Sinon, c'est la porte ouverte à la méfiance et au rejet de l'IA. Selon une étude d'Edelman, 63% des consommateurs se disent préoccupés par l'utilisation de leurs données personnelles par les entreprises. C'est un signal d'alarme qu'il faut prendre au sérieux.
Oui, tout à fait d'accord avec EchoDeBambou et Margaret Hamilton17, faut vraiment être pointilleux sur les citypass. 😅 Perso, je panique toujours à l'idée de pas rentabiliser un truc comme ça, alors je fais des simulations sur tableur avant de me lancer ! 😬
Hotjar, c'est noté ZuckerMeister ! Merci pour l'info. Faut que je teste ça, j'avoue que je suis un peu à la ramasse sur ces outils... 😅 J'ai toujours peur de mal interpréter les données, et de prendre de mauvaises décisions après. 😬
C'est intéressant comme approche Rousseau7. 👍 Je suis d'accord sur le fait que la spécialisation, c'est la clé. Moi, je viens du marketing, et je vois bien que l'IA peut générer du contenu générique à la pelle, mais dès qu'il s'agit d'avoir une voix, une personnalité, un truc qui accroche vraiment... c'est là que l'humain fait la différence. D'ailleurs, je me demande si on ne va pas assister à un retour de balancier, où l'authenticité va devenir un argument de vente majeur. 🤔
Pour ma part, j'ai testé pas mal de plateformes. Certaines sont pas mal pour trouver des missions ponctuelles, mais c'est souvent la course au moins disant. C'est pour ca que je prefere me concentrer sur une clientèle plus restreinte et à fideliser. Et puis, il y a la question des droits d'auteur, c'est un peu le far ouest en ce moment, je trouve. 😥
Par contre, l'idée d'utiliser l'IA comme outil de recherche, c'est malin. J'avoue que je n'avais pas forcément pensé à ça sous cet angle. Faut que je creuse. En parlant de creuser, j'ai vu un article sur être payé grâce à des textes ChatGPT. C'est un peu le serpent qui se mord la queue, mais ca questionne sur l'avenir de notre profession.
Est-ce que vous pensez que la "qualité" d'un texte va finir par se mesurer à sa capacité à déclencher une action (clic, achat, etc.), plutôt qu'à sa richesse stylistique ou sa pertinence informative ? J'ai l'impression que c'est un peu la direction que ça prend, et ca m'angoisse un peu, je l'avoue. 😟