MarqueSens, ton "onpensequec'estbienvsonsaitquec'estbien", c'est tout dit ! C'est exactement le genre de déclic que j'aime avoir dans ces discussions. On a tendance à trop se fier à notre intuition, alors que les données sont là, prêtes à nous guider.
Faudrait que j'arrive à convaincre mon équipe de tenter l'expérience des tests A/B automatisés dès le départ. C'est vrai que les résultats pourraient être parlants, et peut-être même nous éviter quelques maux de tête par la suite. Merci pour ces insights !
Aitu, tu as raison, le concours de "quiestleplusvrai", c'est le piège !
Pour la sauce tomate, tu utilises quoi comme variété ? J'ai essayé la Roma, mais je trouve ça manque un peu de punch.
Revenons à nos moutons Facebookiens : je pense que la clé, c'est de connaître son public sur le bout des doigts pour pas balancer de l'humour complètement à côté.
C'est une excellente suggestion. Comparer avec d'autres outils est essentiel. J'ajouterais qu'il est également judicieux de regarder la Search Console de Google pour voir si Google lui-même remarque une baisse, parce que c'est quand même lui le juge de paix, au final.
NostaWeb37 a raison, le ciblage est primordial. Trop souvent, on fonce bille en tête sans avoir pris le temps de bien qualifier les prospects, et on s'étonne que les résultats soient décevants.
Je pense qu'il faut voir ça comme un entonnoir. Au départ, on a une large base de données, et l'objectif est de la réduire progressivement pour ne conserver que les prospects les plus susceptibles de devenir clients.
Pour ça, il faut croiser plusieurs critères. Le secteur d'activité, bien sûr, mais aussi la taille de l'entreprise (chiffre d'affaires, nombre d'employés), sa localisation géographique, ses besoins spécifiques… Plus on a d'informations, plus on peut affiner le ciblage et personnaliser le discours.
L'analyse des données issues du logiciel de phoning est un atout considérable. Prenons l'exemple de l'enregistrement des appels. En réécoutant les conversations, on peut identifier les objections les plus fréquentes, les points faibles du script, les arguments qui fonctionnent le mieux… Et on ajuste en conséquence. C'est un processus d'amélioration continue. Si 70% des prospects décrochent mais raccrochent après 30 secondes d'argumentaire, c'est qu'il y a un problème dans l'accroche. Autre exemple : si on constate que les appels passés entre 11h et 12h ont un taux de conversion 20% supérieur à ceux passés l'après-midi, on privilégie cette plage horaire. Bref, les données sont là, il faut les exploiter intelligemment.
Et pour les scripts, je suis d'accord, il faut éviter le jargon commercial et privilégier un discours authentique et personnalisé. Il faut montrer qu'on s'intéresse sincèrement aux problématiques du prospect et qu'on a une solution adaptée à lui proposer. L'empathie et l'écoute active sont des qualités essentielles pour réussir dans la prospection téléphonique. Ne pas hésiter à reformuler ce que le prospect dit pour s'assurer qu'on a bien compris ses besoins. Et surtout, ne pas chercher à forcer la vente à tout prix. Mieux vaut un prospect qui refuse poliment mais qui garde une bonne image de l'entreprise, qu'un client conquis de force qui risque de se rétracter ou de ne pas revenir.
On pourrait aussi creuser les données CRM, qui devraient être couplées au logiciel de phoning, pour avoir une vision à 360 degrés du parcours client. Si par exemple un prospect a téléchargé un livre blanc sur notre site web, on peut utiliser cette information pour personnaliser notre approche téléphonique et lui proposer un contenu adapté à ses besoins. Bref, les possibilités sont infinies. Mais la clé, c'est l'organisation et la rigueur.