Merci pour le partage de la vidéo NostaWeb37, mais je suis toujours un peu méfiant avec ce genre de "tutos complets". Souvent, c'est très général et ça manque de spécificité. Chaque entreprise est différente, avec ses propres défis et opportunités. Faut pas croire qu'il existe une formule magique qui marche pour tout le monde... Mieux vaut prendre du recul et adapter les conseils à sa propre situation.
Salut,
C'est une question pertinente ! L'intégration des nouveaux formats digitaux, c'est un peu comme naviguer à vue parfois, surtout quand on a déjà des bases solides ailleurs. On se demande toujours si le jeu en vaut la chandelle et si ça ne va pas cannibaliser ce qui marche déjà... 🤔
Je rejoins Rousseau7 sur l'importance de la mesure. Mais avant de mesurer, il faut définir des indicateurs clés de performance (KPIs) *pertinents*. C'est là que beaucoup se plantent. Vouloir être présent partout, c'est bien, mais si on ne sait pas pourquoi, on va droit dans le mur. Demandez-vous : qu'est-ce que vous voulez *vraiment* accomplir avec ces nouveaux canaux ? Notoriété ? Leads ? Ventes directes ? Ça change tout dans l'approche.
Margaret Hamilton17 a raison, TikTok, c'est l'expérimentation avant tout. Mais attention à l'image de marque ! Il faut que ça reste cohérent avec le reste de votre communication. Un bad buzz peut vite arriver si on fait n'importe quoi pour faire le buzz.
Nous, on a commencé à regarder du côté de Mediadi, pas pour tout externaliser, mais pour avoir un regard extérieur et des compétences qu'on n'a pas forcément en interne. Ils proposent des audits et des formations qui peuvent aider à y voir plus clair avant de se lancer tête baissée. C'est un investissement, certes, mais ça peut éviter de gaspiller de l'argent et du temps sur des actions inutiles.
Autre point : l'humain. Derrière chaque format, il y a une audience. Comprenez qui elle est, ce qu'elle veut, et adaptez votre message en conséquence. Le contenu doit apporter une valeur ajoutée, sinon, c'est du bruit.
Bon courage dans votre exploration du digital ! 🚀
C'est une question pertinente, Aitu. L'anonymisation complète est un défi constant, surtout avec l'affinage des algorithmes de matching. Ce qui marche le mieux, selon moi, c'est une approche multicouche.
D'abord, la base : supprimer toutes les données personnelles évidentes. Nom, adresse, âge, photo... Ça paraît basique, mais c'est la fondation. Ensuite, il faut s'attaquer aux indices moins visibles. Les dates d'expérience peuvent trahir l'âge, donc on peut les remplacer par des durées (par exemple, "5 ans d'expérience en tant que chef de projet" au lieu de "2018-2023 : chef de projet").
Les noms d'écoles ou d'entreprises peuvent aussi biaiser. Si on a fait une grande école très connue, le recruteur peut avoir des préjugés positifs (ou négatifs, d'ailleurs). Idem pour les entreprises. On peut généraliser : "grande école d'ingénieurs", "entreprise internationale spécialisée dans l'aéronautique".
Et là où ça devient vraiment délicat, c'est l'expérience à l'étranger. Indiquer qu'on a travaillé "deux ans en Asie du Sud-Est" est moins discriminant que de préciser "deux ans à Singapour". Les stages et les engagements associatifs sont une autre source potentielle de biais.
Pour s'assurer que l'anonymisation est complète, il faut faire relire le CV par quelqu'un d'autre, en lui demandant de se mettre à la place d'un recruteur et de chercher les indices qui pourraient trahir l'identité du candidat. C'est un peu comme relire un texte pour les fautes d'orthographe : on ne voit pas toujours les siennes. Et il existe des outils en ligne qui font ça, mais je ne sais pas ce qu'ils valent.
Le vrai défi, c'est de trouver le bon équilibre entre anonymisation et pertinence. Si on enlève trop d'informations, le CV devient insipide et ne permet plus d'évaluer correctement les compétences du candidat. Mais bon, on est là pour éviter les biais, non?
C'est marrant, EchoDeBambou, BrodeGeek, on dirait qu'on est sur la même longueur d'onde. Cette notion de "CV sans âme", ça me taraude aussi. On est quand même des marketeurs, on vend du rêve, des solutions, et là, on se retrouverait à éplucher des fiches techniques dénuées de toute substance ?
L'idée de pousser les entreprises à affiner leurs descriptions de poste, je suis à 100% pour. D'ailleurs, selon une étude de la DARES, seulement 30% des offres d'emploi sont suffisamment précises quant aux compétences réellement attendues. C'est un gâchis monumental ! Si on augmentait ce chiffre, on réduirait mécaniquement le besoin de "surinterpréter" les CV et donc, de discriminer (consciemment ou non).
Mais attention à ne pas tomber dans l'excès inverse. Si on demande aux candidats de cocher des cases et de rentrer dans des moules préfabriqués, on va se priver de pépites. Il y a une étude de Harvard Business Review qui montre que les employés avec des parcours atypiques sont souvent plus créatifs et plus résilients face aux défis. C'est logique : ils ont dû sortir de leur zone de confort, s'adapter, apprendre de leurs erreurs.
Alors, comment on fait pour trouver le juste milieu ? Peut-être qu'il faudrait repenser le CV lui-même. Au lieu d'une simple liste chronologique d'expériences, pourquoi ne pas imaginer un format plus narratif, qui permette aux candidats de raconter leur histoire, de mettre en avant leurs réussites, leurs échecs, les leçons qu'ils en ont tirées ? Un peu comme un pitch de start-up, quoi ! Ça demanderait aux recruteurs de faire preuve de plus d'écoute, d'empathie, mais au final, on aurait une vision plus complète et plus humaine des candidats. Et ça, ça vaut tout l'or du monde.
Je suis assez d'accord avec EchoDeBambou, un mélange des deux est probable, mais la prudence est de mise. L'automatisation, c'est tentant, surtout quand on voit les délais qu'on peut gagner sur certaines tâches répétitives. Mais est-ce qu'on ne risque pas de perdre l'âme de notre communication ?
Je me pose beaucoup de questions sur la crédibilité, justement. On sait que ces IA peuvent halluciner des infos, inventer des sources. Si on commence à balancer des communiqués bourrés d'erreurs, c'est notre image qui en prend un coup. Et la confiance, c'est tellement long à construire et si vite détruite...
En tant que marketeux, je vois bien le potentiel pour la personnalisation. Pouvoir adapter le message à chaque client, c'est le rêve. Mais là encore, il faut faire gaffe à ne pas tomber dans un truc trop intrusif, qui ferait flipper les gens. Le IA ChatGPT, c'est un outil puissant, mais il faut savoir le manier avec intelligence et discernement. C'est un peu comme un couteau, ça peut servir à faire de belles choses, mais aussi à se blesser. Faut pas oublier que derrière chaque écran, il y a un humain, et c'est à lui qu'on s'adresse, pas à un algorithme.
On pourrait imaginer des IA qui génèrent des rapports précis sur les tendances du marché, permettant d'anticiper les besoins des consommateurs. Ce serait un gain de temps considérable pour la planification stratégique. Il faudrait aussi penser à la formation des employés. Apprendre à utiliser ces outils, à détecter les erreurs, à garder le contrôle sur le message. C'est un investissement nécessaire pour ne pas se faire dépasser.
L'avenir, c'est peut-être une collaboration homme-machine, où l'IA s'occupe des tâches répétitives et chronophages, et où l'humain apporte sa créativité, son intelligence émotionnelle et son esprit critique. Mais pour ça, faut pas se laisser aveugler par la technologie et garder les pieds sur terre. C'est mon avis, en tout cas. Et je suis curieux d'avoir le vôtre.