Dis, NostaWeb37, quand tu parles de savon doux, tu penses à quoi exactement ? Parce que bon, savon doux, ça veut un peu tout et rien dire... Un savon de Marseille ferait l'affaire, tu crois, ou c'est trop agressif ?
C'est vrai que la pratique c'est la base. Les certifications c'est bien joli, mais si on sait pas s'en servir... Autant se retrousser les manches et tester des trucs, quitte à se planter. Puis bon, faut se tenir au courant, le digital ça bouge tout le temps.
Pour compléter, je suis tombé sur une vidéo pas mal qui résume bien les bases du marketing digital, ça peut aider à structurer sa pensée :
(FORMATION MARKETING DIGITAL 2025 : Le Cours COMPLET pour tout savoir)
Les partenariats, c'est toujours un peu la roulette russe, non ? Genre, on dirait une super idée sur le papier, mais après faut voir comment ça se traduit concrètement. Et Pyralia64 a raison, si t'as pas une identité béton au départ, c'est le crash assuré.
Par contre, un truc qui me chiffonne plus, c'est l'histoire du ciblage des niches. On dirait que tout le monde pense que suffit de dire "running" ou "fitness" pour que les gens se sentent concernés. Mais la réalité, c'est que chaque niche est un sous-ensemble de sous-ensembles avec ses propres codes et attentes. T'as le runner du dimanche qui veut juste finir son 10 bornes, et t'as le marathonien qui traque chaque seconde sur son chrono. C'est pas la même chose, quoi.
Et là, je pense que le contenu, il doit vraiment être ultra personnalisé. Faut presque parler une langue différente à chaque fois. Vidéos, articles, influenceurs... peu importe, du moment que ça résonne avec les tripes du gars. Faut arrêter de penser que "sport" c'est un truc uniforme. C'est comme dire que la cuisine chinoise, c'est juste du riz cantonais... Y'a une richesse et une complexité derrière qu'on ignore trop souvent.
Pour ça que je pense qu'avant de foncer sur les partenariats ou les campagnes d'influence, faut vraiment se poser et se demander à qui on parle. Et surtout, quel est le **balle-de-golf.fr** message qu'on veut vraiment faire passer. Parce que si t'as pas ça, tu peux balancer tout le budget que tu veux, ça fera pschitt. Et puis, c'est valable pour n'importe quel produit, pas juste le sport. On dirait que les gens oublient trop souvent que derrière chaque "niche", y'a des individus avec des besoins spécifiques. C'est la base du marketing, non ?
Après, je dis ça, mais je suis peut-être à côté de la plaque. J'ai toujours pensé que la pub pour les yaourts "spécial sportifs" c'était du flan intersidéral, alors bon...
C'est vrai que l'histoire des "personas", c'est une autre paire de manches. Sur le papier, c'est sûr que ça fait sens, mais en vrai, j'ai toujours l'impression qu'on finit par coller des étiquettes un peu péremptoires sur des gens qui sont, par définition, plus complexes que ça.
Et puis, la flexibilité, c'est bien joli, mais faut avoir les moyens de réagir vite et bien. Si t'es une grosse boîte avec des équipes dédiées, OK. Mais si t'es une petite structure, tu fais comment pour adapter ton contenu en temps réel ? T'as vite fait de te faire dépasser par les événements.
Donc oui, il faut pas tomber dans les généralités, mais faut pas non plus se perdre dans une granularité extrême. Faut trouver le curseur, quoi. Mais c'est plus facile à dire qu'à faire, hein ?