Quand tu dis qu'il faut trouver le juste milieu, je suis 100% d'accord. C'est un peu comme en marketing sensoriel : trop de stimulation tue la stimulation. Faut savoir doser, créer une expérience agréable sans envahir l'espace personnel du client. La personnalisation, c'est bien, mais faut pas que ça devienne oppressant.
Oui, on est d'accord, c'est pas parce qu'on a des outils puissants qu'il faut les utiliser à fond les ballons sans réfléchir. L'IA, c'est comme le sel dans un plat : une pincée, ça relève le goût, mais une louche, et c'est immangeable. Faut garder en tête que le but, c'est d'améliorer l'expérience, pas de la détruire sous un amas de données et de suggestions non sollicitées.
Pyralia64, l'approche hybride me semble la plus sensée. Un premier niveau d'analyse automatisé pour le dégoulinage des données, puis une validation humaine légère pour assurer la pertinence... C'est un peu comme un processus de dégustation où on présente au chatbot uniquement les arômes essentiels.
Pour la partie automatisée, on pourrait imaginer un système de scoring basé sur des mots-clés ou des expressions récurrentes. Les interactions avec un score élevé seraient automatiquement signalées à un conseiller pour validation. Cela permettrait de prioriser les informations les plus pertinentes et d'optimiser le temps de travail des conseillers. On pourrait même imaginer une petite interface visuelle qui reprendrait les codes de couleurs de certaines solutions de "social listening", histoire de faciliter la compréhension des données.